La mer était si bleue,
Et le trottoir devint si rouge,
Un soir, après le feu,
Ce fut des cris, des corps qui bougent,
Une tuerie à ciel ouvert,
Des tas de corps, partout parterre,
Des appels au secours,
Des pleurs, des gestes d'amour,
Ils ne savaient pas ce qu'il se passait,
Ils ont couru, pleuré, crié,
La mort rodait sur les trottoirs,
Et puis soudain, le désespoir,
Ils ont compris ce qu'il avait fait,
Lui l'inconnu, le meurtrier,
Qui au nom de quoi, de qui,
Avait brisé des centaines de vies.
Au 14 Juillet 2016 - Nice la Prom : 86 morts après le feu d'artifice
Commentaires
Ces instants resteront gravés dans mon cœur à jamais, à cette époque j'avais une brunette à mes cotés, tous ces jours et ces fleurs étalés, n'ont fait qu'agrandir mon coeur brisé, ces anges envolés, c'est étrange je les pleure mais je ne les ait jamais croisés, elle me tenait la main pour ne pas chavirer, en écrivant ces mots mon ventre reste serré, nos larmes en même temps ont coulées, et pour la vie entière jamais je ne l'oublierai.......