SUR LE CHEMIN DE L'ECOLE
Quand je te croise tous les matins,
Avec ta clope, tes ongles peints,
tu sens la cendre et la fumée,
Et j'ai du mal à respirer.
Tu te crois déjà libre,
De prendre ou refuser,
La cigarette quand ça t'enivre,
Après tu ne peux plus t'en passer.
Du haut de tes 16,17 ans peut-être,
Déjà grande tu veux paraître,
Mais tu n'as pas l'odeur des filles,
Qui sentent bon la vanille.
ça me dérange cette cigarette,
Que tu fumes comme un vrai mec,
Regarde toi et réagis,
Car c'est ta vie que tu pourris.
Mon fils, ne prends jamais une première taffe,
Tu recevrais ta première baffe,
Tu peux grandir sans savoir fumer,
Oser dire non, c'est ça la liberté !
A mon fils - 03.2007
Commentaires
Bravo, je vais envoyer ce poême à mes petits-enfants, pour le moment je crois qu'ils ne fument pas, mais s'a ment si bien un enfant...........
Bises à vous 3 Monique